la table

Vous avez traversé la ruelle et la cave, c'est surement le signe d'une grande follie.........ou d'une grande détresse.
Vous avez néamoins monter votre volonté de parvenir jusqu'à moi, je vous accorde donc une audience (monnayant bien sur quelques petites compensations).
Que puis-je faire pour votre plaisir?

(Hj: être arrivé 5 jours plus tôt, je saurais où je vais ...lol)

maaaaiiiissss..........; je peux encore te prédire ton destin ,si tu as quelque chose d'intéressant a m'offrir bien sur

Nerwende s'assit en face du devin. Elle était plus froide et cruelle que d'ordinaire (non c'est possible???) et était seule sans ses deux gardes du corps, de qui elle ne se separait d'habitude jamais. Elle le regarda d'un oeil qui se voulait mesquin mais qui refletait surtout le desespoir

"il parait que tu connais le futur? comme tu es devin, je suppose que tu sais qui je suis"

Il l'avait sentie arriver. Tout être s'aventurant dans son antre devaitêtre bien déséspéré, il ne preta aucune attention à ses regards visants à l'intimider, elle avait besoin de son aide, il était donc le plus fort et commenca à l'analyser dès qu'elle prit place à sa table, sans la plus infime forme de politesse élémentaire, il en conclu donc qu'elle devait se considérer comme supérieure mais ne le fit pas remarquer, cette splendide femme l'intriguait.
Il se pourrait en effet que je percoive de temps à autre des limbes d'avenir, mais ma connaissance du temps et de ses éléments ne se limite pas au futur........... que puis-je faire pour ton service voleuse?(il la dévisagea, plonga ses yeux de ténébres dans les siens et attendi sa réaction)

elle détourna les yeux. son regard était si pénétrant, il lui glaçait le coeur. Elle retrouva ses esprits et essaya de rebondir

"tu me déshonore l'ami, sache que je ne suis pas une simple voleuse, je suis la..."

elle laissa sa phrase en suspens. Chef de la guilde sans âme, l'était-elle toujours vraiment?

"trève de bavardage, je veux savoir ce que l'avenir me reserve. Si tu me satisfait, je te paierais honorablement"

(Hj: merde lol un peu plus de précision sur ce que tu veu savoir de ton avenir, tu veu ke je te prédise ce que tu va manger le lendemain?)

Il lui prit la main, la sienne était glacée et dure, tadis que celle de nerwende chaude et douce, ce contact le réjouit, si longtemps qu'il n'avait touché pareille main.

"Tu veux que je te prédise ton destin? Il en sera donc ainsi".
"Ton compagnon, le suderon, essayera de te renverser, mais seulement apres etre revenu d'une longue quète, si tu veux vivre il te faudra l'occire dès son retour en ville. Je vois aussi qu'une créature malfaisante t'attirrera les foudres de la garde, cette créature se chargera de faire passer ses divertissements pour tes agissements, si tu ne l'en empeche pas, toi et tes fidèles seront traqués et exterminés. Elle a découvert la cachette, l'entrée de ton repère, elle essayera d'y pénétrer dans les jours qui viennent, tout partira de là, si elle découvre ta petite organisation, elle se servira de toi.........."

"La séance est terminée, paie moi a présent."
Il relacha sa main a grand peine, les griffes avaient pénétré la chair du poignet lors de la transe, mais cela était nécéssaire, il ne s'en excusa pas et attendi sa réaction.

(hj: ben tu vois je t'ai rien precisé, et tu as su exactement ce que je voulais savoir. Tu es peut etre devin finalement...)

Elle ne preta aucune attention à son poignet meurtri, étant habituée aux blessures physiques. Pour une autre raison cependant, les larmes lui montèrent aux yeux et elle bégaya, la gorge nouée
"tu te trompe...je...Meakil ne peut...jamais il ne..."

Nerwende retrouvait ses vieux compagnons de route, le doute, la tristesse, la trahison...Elle avait cru pouvoir faire confiance à Meakil, elle pensait pouvoir l'aimer et être aimée. Mais si elle s'était trompée? Elle devait se ressaisir, ne plus écouter son coeur. Elle s'occuperait de ça plus tard, lorsqu'elle serait seule. Elle se redressa sur son fauteuil et croisa les jambes

"Tu me trouble devin, ton pouvoir est grand. Je te présente mes excuses, j'ai douté de toi mais à présent, je te respecte et je fairais en sorte que tu sois respecté et protègé au sein de la cité, bien que je sois sure que tu n'es pas besoin de mon aide. Voilà ton or"

Elle sortit une petite bourse de cuir de son decolleté et la lança sur la table. Decidement, ce devin lui avait été d'une grande aide. Il lui avait permis de retrouver tout son superbe, sa force spirituelle, ce qui faisait d'elle une femme cruelle et puissante. Elle se leva et lui lança un dernier regard provocateur

"Si jamais tu désire me voir, pour une quelconque raison, je serais ravie de t'acceuillir dans ma guilde"

"Je te remercie, mais je doute de l'identité de la personne la plus sujette au danger de nous deux. Je vai réfléchir à ta proposition, maintenant laisse moi, j'ai à faire....."
(hj: cmbien tu me file de tune, faut que je le rajoute sur mon compte et toi que tu le déduise)

(hj: je croyais l'avoir noté dsl. J'en sais rien on va dire 10 po, ça te va?)

elle haussa les épaules et s'en alla. Elle avait besoin de se défouler, elle irait maltraiter quelques citadains

(hj iop ca me va trankill)